Savoir sourire, À une inconnue qui passe, N'en garder aucune trace, Sinon celle du plaisir
Savoir aimer Sans rien attendre en retour, Ni égard, ni grand amour, Pas même l'espoir d'être aimé,
[Refrain : ] Mais savoir donner, Donner sans reprendre, Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimer, Aimer sans attendre, Aimer à tout prendre, Apprendre à sourire, Rien que pour le geste, Sans vouloir le reste Et apprendre à Vivre Et s'en aller.
Savoir attendre, Goûter à ce plein bonheur Qu'on vous donne comme par erreur, Tant on ne l'attendait plus.
Se voir y croire pour tromper la peur du vide Ancrée comme autant de rides Qui ternissent les miroirs
[Refrain : ]
Savoir souffrir En silence, sans murmure, Ni défense ni armure Souffrir à vouloir mourir
Et se relever Comme on renaît de ses cendres, Avec tant d'amour à revendre Qu'on tire un trait sur le passé.
[Refrain : ]
Apprendre à rêver À rêver pour deux, Rien qu'en fermant les yeux, Et savoir donner
Donner sans rature Ni demi-mesure Apprendre à rester. Vouloir jusqu'au bout
Rester malgré tout, Apprendre à aimer, Et s'en aller, Et s'en aller...
Dans le clip, Florent Pagny signe les paroles de la chanson. Il y a quelques années, j'avais commencé à apprendre la Langue des Signes française. Un jour, peut-être, si je parviens à me poser, à cesser de me disperser, à trouver quelles sont mes priorités, un jour sans doutes je reprendrai.
I’m holding on your rope Je suis suspendu à ta corde Got me ten feet off the ground A dix pieds au dessus du sol And I'm hearing what you say J'écoute ce que tu dis But I just can't make a sound Mais je ne peux pas émettre un bruit You tell me that you need me Tu me dis que tu as besoin de moi Then you go and cut me down Puis tu pars et coupe mes liens But wait... mais attends
You tell me that you're sorry Tu me dis que t'es désolée Didn't think I'd turn around and say.. Que tu ne pensais pas que je te tournerais le dos, et dirais...
That it's too late to apologize, it's too late Qu’il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard I said it's too late to apologize, it's too late J'ai dit qu'il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard
I'd take another chance, take a fall, take a shot for you Je saisirais une autre opportunité, je tomberais, je prendrais une balle pour toi
And I need you like a heart needs a beat Et j'ai besoin de toi comme un coeur a besoin d'un battement (But that's nothing new) (Mais c'est pas nouveau) Yeah yeah Hey Hey
I loved you with a fire red, now it's turning blue Je t'aimais d'une flamme ardente, maintenant elle vire au bleu, And you say Et tu dis...
« Sorry » like an angel, "Désolée" comme un ange, Heaven let me think was you... laisse-moi penser que tu étais le paradis But I'm afraid Mais j'ai peur...
It's too late to apologize, it's too late Il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard I said it's too late to apologize, it's too late J'ai dit qu'il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard Woahooo woah Wow wow
It's too late to apologize, it's too late Il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard I said it's too late to apologize, yeah yeah J'ai dit qu'il est trop tard pour s'excuser, hey hey I said it's too late to apologize, it's too late J'ai dit qu'il est trop tard pour s'excuser, il est trop tard
I’m holding on your rope Je suis suspendu à ta corde Got me ten feet off the ground.... A dix pieds au dessus du sol...
envoyé par dailymotion NB : Paroles trouvées sur le net et traduction (approximative) aussi, quoiqu'un peu corrigée (j'espère pour le mieux) par moi.
Fiction du soir : (espoir ????) "Les premières notes de piano me prennent par surprise et mon regard trouve automatiquement celui de Laura. C'est notre chanson à tous les deux. Pourtant, nous ne l'écoutons jamais, sauf lorsque, comme ce soir, elle passe à la radio, à la TV, ou lors d'une soirée, mais c'est notre chanson. Ou bien la mienne ? Je lui tends la main, elle enlace ses doigts aux miens, automatiquement. Il y a quelques années, combien déjà ? Lorsque cette chanson résonnait, je sentais un creux énorme, douloureux, dans mon ventre, j'avais l'impression de suffoquer. Elle n'a pourtant rien à voir avec notre histoire, cette chanson. Nous ne nous sommes jamais séparés, mon petit "cinquième élément" et moi. C'est ce piano, c'est la voix du chanteur, et ce refrain qui reprend tellement bien ce qui me noue l'estomac depuis "cette date". Si ma femme, mon petit "cinquième élément" était absente, il fallait bien que je gère. Si la chanson nous surprenait alors que nous étions pas trop loin l'un de l'autre, Laura sentait, elle savait de toutes façons, que j'avais besoin d'elle. Elle venait alors se coller contre moi, et je la serrais aussi fort que je pouvais, tout en lui disant, ma bouche dans son cou, dans ses cheveux, combien j'étais désolé, désolé, désolé... Et ce refrain qui me pourchassait en un echo douloureux de ce que je ressentais, ce sentiment d'inexorable, ce "It's too late to apologize, it's too late I said it's too late to apologize, it's too late". Elle me caressait, faisait taire, doucement, mon murmure frénétique, ma peine et mes remords, en me disant qu'elle était fière de moi, qu'elle était là, qu'elle m'aimait. Elle a cru en moi, elle a cru en nous, et c'est à elle que je dois d'être là ce soir. Au fil du temps j'ai oublié celui que j'étais. Je me suis reconstruit dans mon travail, dans ma nouvelle vie, dans son regard. J'ai fini par oublier, par accepter qu'elle puisse m'aimer ainsi.
Vingt ans dans quelques semaines, et je n'ai pas fini de payer, je paierai toute ma vie, mais si j'avais agi autrement, je paierais autrement, d'autres remords, d'une autre culpabilité. J'ai oublié comment c'était avant, j'ai perdu ce besoin de lui dire, à elle, combien je suis désolé. Mais j'éprouve toujours, quand cette chanson passe, le besoin de la serrer dans mes bras, ou au moins de trouver sa main, de poser la mienne sur son corps, et peu importe l'heure qu'il est, le jour, que du monde nous entoure..."
Pour Seafree que je ne connais pas réellement, mais à qui j'envoie d'amicales pensées en espérant, en espérant quoi ? Qu'il se remette au mieux...
Une chanson que je trouve superbe, trés émouvante. J'aime beaucoup la voix de Patricia Kaas et cette chanson lui va particulièrement bien. C'est à mes yeux l'une des plus belles de l'album. Je regrette personnellement que le clip ne soit pas plus joli — Bon, j'avoue, je ne l'ai regardé qu'en diagonale.
Ses mains me vont bien Et tout son corps Il part je sais qu'il revient Mon chercheur d'or
Je rêve de si loin Quand il m'endort Cette fois je crois qu'j'en tiens un Sentiment fort
Y a bien des vauriens Qui s'raient d'accord Mais lui j'me dis c'est quelqu'un Mon chercheur d'or
Y aura des matins Y aura des morts On s'ra les derniers terriens Qui s'aiment encore Qui s'aiment encore
Comme amour, comme amour Y a pas mieux
Et moi j'ai toutes mes mains Pour le garder Pour moi toute seule Et pour le monde entier
Il est là sous ma peau Tellement là sous ma peau
Et moi j'ai tout un cœur à faire tourner Pour lui tout seul Et pour le monde entier
Et c'est là sous ma peau Tellement là sous ma peau
Ce n'est pas un saint Mais je m'en sors On pourrait pas l'aimer moins Mon chercheur d'or
Je me passerais bien de ses trésors N'en trouver que les parfums Je peux encore, Je peux encore,
Comme amour, comme amour Y a pas mieux
Et moi j'ai toutes mes mains Pour le garder Pour moi toute seule Et pour le monde entier
Il est là sous ma peau Tellement là sous ma peau
Et moi j'ai tout un cœur à faire tourner Pour lui tout seul Et pour le monde entier
Et c'est là sous ma peau Tellement là sous ma peau
Ses mains me vont bien Et tout son corps On s'ra les derniers terriens Qui s'aiment
Ses mains me vont bien Et tout son corps On s'ra les derniers terriens Qui s'aiment encore Qui s'aiment encore
Now everybody, Jetzt hat Jeder, Has a right to be living their lives ein Recht sein Leben zu leben... Oh...but we'd a long, long way a long way from paradise. oh aber wir sind weit, weit entfernt vom Paradies. If there was freedom tell me why everybody wants to fight. Falls da einst Frieden war, erklärt mir, warum Jeder kämpfen will...oh Oh...'cause we're a long, long way a long way from paradise. denn wir sind weit, weit vom Paradies entfernt.
You might be strong enough, Ihr mögt stark genug sein, You might be rich enough, Ihr mögt reich genug sein, You might be blind enough: Ihr mögt blind genug sein, To push it all aside. um es alles zu verdrängen.
No matter what you do, Egal was ihr macht, It keeps come back to me and you. es kommt zurück zu mir und euch.
Refrain: Give a little bit of love and you get it back, Gebt ein kleines bisschen Liebe und ihr bekommt sie zurück, Give a little bit of pain, you call it a track. bereitet ein kleines bisschen Schmerz, und ihr geratet in eine Falle, For every little thing that you say or do, give a little bit of love and Für jede kleine Sache, die ihr sagt oder tut, gebt ein kleines bisschen it'll come back to you Liebe und ihr bekommt sie zurück.
You got your reasons, Ihr habt eure Gründe, But are you sure they're reasons to be right? doch seid ihr sicher, dass diese Gründe richtig sind? ... Oh...'cause we'd a long, long way a long way from paradise. oh denn wir sind (noch) weit, weit vom Paradies entfernt.
We must be strong enough, Wir müssen stark genug sein, We must be brave enough, wir müssen tapfer genug sein, We waited long enough now it´s time to say goodbye. wir haben lange genug gewartet, nun ist es Zeit, sich zu verabschieden.
We got some rules to ban, Wir haben noch einige Regeln festzulegen, To let the lies and truth belong. noch so viele Lektionen zu lernen.
I believe in peace and harmony, Ich glaube an Frieden und Harmonie, You got to believe in love ihr müsst an die Liebe glauben, Before you can be free bevor ihr frei sein könnt, So take her hand so nehmt euch an der Hand, Everybody make a friend Jeder finde einen Freund, I want you to believe in love ich will, dass ihr an die Liebe glaubt, Like I believe... wie ich es tue.
Give a little bit of love...love Gebt ein kleines bisschen Liebe...Liebe a little bit of pain...pain ein kleines bisschen Schmerz....Schmerz give a little bit of love...a little bit of love gebt ein kleines bisschen Liebe...ein kleines bisschen Liebe
Give a little bit of love and you get it back, Gebt ein kleines bisschen Liebe und ihr bekommt sie zurück, Give a little bit of pain, you call it a track. bereitet ein kleines bisschen Schmerz, und ihr garatet in eine Falle, For every little thing that you say or do, give a little bit of love and Für jede kleine Sache, die ihr sagt oder tut, gebt ein kleines bisschen it'll come back to you Liebe und ihr bekommst sie zurück.
Une voix trés émouvante, pleine d'inflexion, j'aime beaucoup. Traduction en allemand, c'est surprenant ? Non, car Joana Zimmer est allemande et d'aprés ce que j'ai lu sur le net, vit à Berlin (ah, Berlin...). Je n'ai pas résisté à la copier aussi, je me demande si elle la chante aussi en allemand cette chanson ? Ce doit être trés joli... J'entends parfois dire des gens qui n'y connaissent rien (ou peut-être qu'ils n'ont pas d'oreille !) que l'allemand est une langue aux sonorités rudes, apres, rauques, dures à l'oreille.... Mais écoutez une femme allemande parler et vous croirez entendre une chanson, ou un oiseau pépier. C'est trés joli, l'allemand, au contraire...
Un peu la flemme de mettre les paroles en anglais parce que quand je met les paroles, j'aime bien aussi mettre une petite traduction et c'est un peu lourd à gérer.
C'est pas forcément trés joyeux comme thème mais bon si on ne devait écouter que des trucs joyeux et pas prise de tête.... Et puis c'est quand même vraiment vif, plein de peps, sympa, quoi ! (admirez s'il vous plaît la richesse et la pertinence d'argumentation de mes critiques musicales... Oserais-je ajouter que je trouve le chanteur trés intense et séduisant ? Hmmmm, pas sûre que ce dernier commentaire ajoute de la pertinence à la critique... :))
Matchbox twenty, je les ai ai "connus" il y a quelques temps déjà avec Unwell à la radio, chanson qui date à priori de 2003 et tout récemment celle-ci.
Dans ce clip un peu déjanté, j'aime beaucoup les apparitions réapparitions du Braque de Weimar (pour les non initiés le machin gris argent en forme de chien, vivant dans le film et dessiné plus ou moins robotisé dans la prtie "onirique".) Sur dailymotion, on trouve aussi une version accoustique qui est sympa également :
elle permet de mieux apprécier la partition de guitare ainsi que la voix du chanteur. Dommage en revanche qu'il n'ait pas été "mieux" filmé et notamment dommage qu'il n'y ait pas d'images de face. Enfin j'aime bien aussi.
Je regardais pas mal de patinage artistique il y a quelques années. Et puis j'ai arreté, parce que, souvent, les musiques ne me plaisaient pas et à quoi bon regarder, même si c'est merveilleux, quand le son vous casse les oreilles ? En tous cas, c'est ainsi que cela se passe pour moi... Mais ce soir j'ai été faire quelques recherches sur le net qui m'ont conduit à ces quelques morceaux choisis : Ce magnifique passage de Alexei Yagudin en hommage aux militaires russes décédés lors de la tragédie du Koursk.
Des années aprés l'avoir entendu et regardé pour la première fois, ça me prend encore à l'estomac : si la bande son n'est pas trés bonne, la musique est saisissante et l'interprétation dégage, je trouve, une réelle émotion...
Un morceau sympa à regarder et qui donne envie de bouger. Admirer leur coordination, leur vivacité sur ses notes rapides et rythmées. Elena berezhnaya ressemble à un petit oiseau sur les épaules et dans les bras de son partenaire Anton Sikharulidze. (Orthographe des noms propres non garantie.)
Irina Slutskaya "Timeless" , Championnats du monde, envoyé par youtube
J'aimais également énormément Marina Anissina et Gwendal Peizerat mais là tout de suite ce soir je n'ai rien retrouvé d'eux qui me séduise...
J'avoue, c'est en partie pour meubler le silence que je poste des vidéos... C'est pas bien et je m'attends tôt ou tard à me faire dire que je ne me donne pas grand peine... Mais là il est 21 H 30, il fait froid chez moi, je suis assez fatiguouille et je'essaie de planifier une période sans internet.... Donc j'ai écrit des billets et j'intercale avec des vidéos qui je l'espère contribueront à vous attirer vers mon univers entre autres musical. S'agissant de musique, comme déjà dit, je n'écoute spontanément rien de "classique". Pour le reste j'écoute pas mal de choses, petits bouts de tout et de rien. J'ai pas mal de musiques de films, super pour faire le ménage (!!!!) ou s'endormir. J'ai pas mal d'albums dans lesquels je préfère voir n'écoute quasi exclusivement que l'une ou l'autre chanson... S'agissant de cette chanson, je ne saurais dire quand exactement je l'ai découverte... Mais je l'aime particulièrement.
Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S. écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide Un désert
Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie
Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Etouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir Disparaissent
Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau Reste à faire
Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers
(Lui) Je crois t’avoir vu le long d’un trottoir / même qu’il pleuvait des cordes / mais je crois t’avoir vu au bas d’un immeuble, boulevard de Vérone Je pensais t’avoir plu un beau jour de juin où l’on marchait tout comme / comme deux amants perdus qui n’ont peur de rien puisqu’ils croient encore (Elle) Mais je crois t’avoir vu le long d’un trottoir tu étais ivre mort / j’ai pensé n’avoir plus à lever la tête et à soulever ton corps J’espérais t’avoir cru quand tu disais qu’un jour on fuirait vers le nord / comme deux amants perdus qui n’ont peur de rien puisqu’ils croient encore
Mais c’était juste une ombre, c’était juste une silhouette / qui ressemble à toi /c’était juste une ombre Je recherche quiquonque te ressemblera Mais c'était juste une ombre, c’était juste une silhouette / qui ressemble à toi / c’était juste une ombre Je recherche quiquonque te remplacera ...
Je crois t'avoir vu, tu embrassais un homme au milieu d'une arène Je crois que t'as confondu, était-elle blonde ou brune ? la trouvais-tu mignonne ? Mais je crois t'avoir vu croisant son regard la main sur son épaule Je crois que t’as confondu / c’est pas la première fois que ton cerveau déconne
Mais c'était juste une ombre, c'était juste une silhouette qui ressemble à toi / C'était juste une ombre Je recherche quiconque te ressemblera Mais c'était juste une ombre, c'était juste une silhouette qui ressemble à toi / C'était juste une ombre Je recherche quiconque te remplacera
Mais je crois t’avoir vu / pas plus tard qu’hier / Je te distingue dans le monde Des images de toi / J’en vois vingt cinq à la seconde Je crois t’avoir vu / de mes propres yeux / J’en suis presque sûre J’en mettrais ma main au feu
Mais c'était juste une ombre, c'était juste une silhouette qui ressemble à toi / C'était juste une ombre Je recherche quiconque / Mais c'était juste une ombre, c'était juste une silhouette qui ressemble à toi C'était juste une ombre / Je recherche quiconque te remplacera
Je recherche / Toi, Moi / Je recherche / Toi, Moi / Je recherche / Toi, Moi / Je recherche / Toi, Moi
J'adore. Je trouve qu'il y a quelque chose de trés frais, de trés vrai, dans ces paroles. L'amour, pour le peu que j'en ai connu, comportait souvent quelque chose d'un peu frénétique, plein de questions... Que l'on retrouve pleinement, je trouve.
Une petite biographie du groupe Mauss et de son chanteur (à lire, je n'ai pas tout copié...) MAUSS est un groupe, mais pas tout à fait. C'est-à-dire que, comme Fabrice Mauss est le nom de son chanteur, on n'a pas besoin d'être une tête pour comprendre qu'il en est le leader. Il n'en fait pas plus secret qu'il ne semble en tirer de fierté [...].
Je n'ai sans doute pas assez cherché, mais je n'ai rien trouvé sur Charlie.
Encore un souvenir de Colo-de-vacances-pour-adultes (Voir ICI et LÀ) Donc comme déjà raconté, nous organisions des "boums" environ une fois par semaine. Photo prise ici.
Et comme dans toute bonne colo de vacance qui se respecte (fut-elle pour adultes) il y avait un couvre-feu. Et en bons ados bien gamins que tout un chacun peut redevenir, nous transgressions le couvre-feu... On installait une mini sono dans le local de travail de l'un d'entre nous et on profitait jusqu'à point d'heure... J'adorais cette chanson complètement décalquée tant sur le plan des paroles que dans le clip.
{Refrain:} Nanala Naganalalo Lanalalaleno ( 4 fois ) On a tondu les moutons , et filé la laine Et réparé la moto avec la clef allen On a rencontré des filles pas du tout vilaines Avec elles il y avait la Marie ranouen On a respiré du tri du trichloroéthylène Et le lendemain on avait mauvaise haleine
{Refrain} Y a trois francs de réduction sur les chocos BN Alors pour en profiter on les prend par douzaines On s'est envoyé une bonne bouteille de chouchen A la fin elle était vide elle était plus pleine Après on a fait du stop avec les bigoudènes Et on est allé en boîte mais y avait qu'des lesbiennes
{Refrain} On a jeté tous les parisiens dedans la Seine On a noyé en même temps toutes les parisiennes On a trouvé du pétrole aux îles Kerguelen Et après on est parti pécho la sirène Ah y'en a un qu'j'oublie toujours oh c'est Saddam Hussein Celui-là nous pompe de l'air comme Jean-Marie Le Pen On s'est roulé un cinq feuilles avec du pollen Et après on est tous tombés dans le lagen
{Refrain} Si notre chanson vous a plu oh donnez-vous la peine De nous payer un bon coup pour reprendre haleine Je n'me souviens plus de la suite alors c'est pas la peine De toute façon ce qu'il fallait c'était une rime en "N" {Refrain}
Souvenir de Jeff (oui oui si tu me lis mais je doute que tu passes sur les blogs (??) c'est bien de toi que je parle !) qui a quitté la place un mois avant moi et de cette super dernière soirée où il m'a donné son tee-shirt brodé de l'engin sur lequel il travaillait. Ce soir-là nous avons fait une bataille d'eau mémorable quoique silencieuse et rieuse dans les couloirs des salles de travail désaffectées pour le soir. Au matin, venue lui dire au revoir au pied du car, j'ai croisé son chef qui m'a fait un grand sourire "Vous en avez un beau tee-shirt, mademoiselle !!" Je lui ai répondu avec un grand sourire moi aussi que, oui, monsieur, et que j'étais trés fière qu'on me l'ait donné. Je n'ai jamais lavé le tee-shirt parce qu'il portait le parfum de Jeff (oui oui, sentimentale la petite dame quoi que techniquement il ne se soit absolument rien passé entre Jeff et moi qu'une bataille d'eau !) mais depuis l'an dernier tout le parfum est parti...
Et vous, vous aimez quoi comme musiques / chansons ?
Salomé by Jean-Patrick Capdevielle Album : les enfants des ténèbres et les anges de la rue.
Pour l'anecdote, voilà hyper longtemps que je n'avais écouté cette chanson (je crois bien que je l'avais sur une cassette piquée à mon frère au vieux temps de mon adolescence.... Et donc de la sienne car il n'a guère que 13 mois de plus que moi) et puis je l'ai retrouvée par hasard sur le net et la magie a fonctionné à nouveau aussitôt. Simplement, je n'avais jamais vu Jean-Patrick Capdevielle ni en photo ni en vrai, et quand j'ai vu la vidéo pour la première fois, j'ai cru qu'il s'agissait d'un groupe de rock amateur qui reprenait le titre. Me suis dit, "ah oui, pas mal, les gars ! Presque aussi bien que l'original, si je me souviens bien !" Et pour cause puisqu'il s'agit effectivement de l'original... (rire !)
Quand j' l'ai vue traîner le long de mon avenue Malgré ma canne blanche, je l'ai vite reconnue Avec ses yeux peints couleur mélodrame On fait tout c' qu'on peut du temps et d' son âme
J'attendais la nuit à l'ombre de l'usine J' regardais ma vie comme un vieux magazine Le vent était chaud, le ciel plein de rouge Elle marchait sur un bateau qui bouge
Elle est v'nue vers moi pour m'apprendre mon rôle Quand ma solitude n'était vraiment pas drôle J'ai senti l'orage quand ma voix s'est cassée Mais déjà je dansais comme un clown sur la trace de Salomé
Y avait dans son lit quelques cartes égyptiennes Elle m'a demandé de deviner la mienne Plongeant dans mes yeux, elle jouait les sirènes Moi j'étais son fou, elle était ma reine
Avant de sortir, j'ai volé toutes ses cartes J'en f'rai des souvenirs pour ses amants qui partent Elle semblait dormir, j'ai cru qu'elle rêvait Ma chance est fragile, fallait pas l'user
Descendant ses marches, j'ai pas fait de vacarme Mais j'ai vu ce fou s' pendre au signal d'alarme Une fois dans la rue, j'ai enfin respiré Il pleuvait mais le vent de minuit a chanté pour Salomé
J'entends l' pauvre Oscar appeler saint Jean-Baptiste Pour lui demander si l' temps qui passe existe Sur le bord du puits, quand l'autre a maudit L'ombre en plein midi, personne a compris
Oscar est parti sous la nuit d'équinoxe Il a juste laissé sa paire de gants de boxe Tout était en place, le rideau s'est l'vé Les juges ont crié : Place aux condamnés
Tout ça peut paraître une bien étrange histoire La morale est loin dans l' fond de ma mémoire Une bille a sonné comme un vieux bouclier Quand le vent tournera qui venait me parler de Salomé.
Jolie ambiance dans cette drôle de chanson décalée, où l'on se sent à moitié sur terre, à moitié dans un univers onirique... J'aime beaucoup.